Le jeune entrepreneur marocain Imad Aboubouker a réussi à concrétiser la vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI visant à renforcer la coopération Sud-Sud en Afrique, à travers le lancement d’un projet de construction de la plus grande université moderne du Tchad, dans la ville de Faya. Cet édifice académique s’étend sur une superficie de dix hectares et sera réalisé en 24 mois. Il comprendra des logements pour les enseignants et les étudiants, faisant de lui un projet stratégique et intégré.
Le projet est supervisé par la société marocaine M.I Travaux, dirigée par Aboubouker, qui a souligné que cette université constitue « une étape décisive pour consolider la coopération africaine et promouvoir l’enseignement supérieur sur le continent ». Cet accomplissement reflète la confiance que portent les pays africains aux compétences marocaines, tout en mettant en lumière la solidité des relations entre le Maroc et le Tchad, conformément à l’orientation royale en faveur du développement et du renforcement des partenariats africains.
Imad Aboubouker incarne l’un des modèles inspirants de la jeunesse marocaine qui a su s’imposer à l’international grâce à son ambition et à sa persévérance. Né le 25 janvier 1989, il est aujourd’hui marié et père de deux enfants. Son parcours académique l’a conduit à l’École Nationale de Commerce et de Gestion de Kénitra (ENCG), où il a obtenu une licence en gouvernance, ingénierie des affaires et banques.
Dès ses débuts, Imad a cru au potentiel de la jeunesse marocaine à s’imposer sur les marchés internationaux. Il a bâti sa carrière dans le secteur du bâtiment et des travaux publics, et occupe aujourd’hui le poste de directeur général de plusieurs entreprises opérant dans divers pays africains, notamment le Tchad, le Sénégal, le Togo, le Burkina Faso, le Cameroun et le Bénin.
À travers ce parcours exceptionnel, Imad Aboubouker illustre l’histoire d’un succès marocain remarquable, transformant son ambition en réalisations concrètes, et portant haut l’étendard des compétences marocaines en Afrique, avec la conviction que la jeunesse marocaine peut innover et contribuer partout où elle se trouve.